DIEUX DU NORD Thor ou le Comte du Pays des Noix, à Anvers et autres lieux de Flandre, ainsi qu'à Bruxelles.

 

Thor
Bengt Erland Fogelberg, 1844
The Orangery Museum, Stockholm


THOR 
OU 
LE COMTE DU PAYS DES NOIX EN TERRES FLAMANDES

"De Greef"

Dans ses  "Traditions et légendes de la Belgique", le baron de Reinsberg-Düringsfeld, s’appuyant notamment sur « L’année de l’ancienne Belgique » de Victor Coremans, identifie le dieu nordique Thor au Greef, personnage fantastique des Flandres qui, sous divers noms (Sinte Greef, Sintje Grève, Graef van Halfvasten, Graef van ‘t Noten Land, Greef Valoke, Zomergraaf, etc), jouait autrefois un rôle similaire à celui de saint Nicolas à Anvers, en terres flamandes, à Bruxelles, et jusqu'en Flandre française.

Reinsberg-Düringsfeld nous livre en détail les éléments de cette légende dans le texte qui suit.

On trouvera en fin d'article une bibliographie qui inclut divers ouvrages traitant de la légende du Greef.


Leif Aegir Thorsson


*


L'ami des enfants


SINTE GREEF

LE COMTE DU PAYS DES NOIX

Extrait des "Traditions et légendes de la Belgique", du Baron de Reinsberg-Düringsfeld, tome I (1870)


18 mars.

(Doronicum Pardalionetes). Saint Gabriël, archange.

Le quatrième dimanche du carême (Laetare), que les documents du moyen-âge désignent souvent sous le nom latin de «Media Quadragesima» s'appelle en Belgique «Mi-carême» ou «Halfvasten».

C'est comme une résurrection du carnaval. Dès le matin les masques circulent par bandes nombreuses dans les rues, et à la nuit tombante ils se rendent tous aux bals masqués qui ne le cèdent en rien à ceux du carnaval.

Mais ce qui caractérise la mi-carême en Belgique, c'est la coutume de donner ce jour, des présents aux enfants, coutume qui s'observe encore aujourd'hui en Brabant et surtout à Anvers. «De Greef van Half-vasten», le comte de Mi-carême, est pour les enfants des familles flamandes ce qu'est pour les enfants allemands et anglais le petit Jésus, et pour les familles françaises, le jour de l'an. Tandis que le bon saint Nicolas paraît vers le commencement de l'hiver, le comte de Mi-Carême, appelé par les enfants «sinte Greef» arrive sur la fin de l'hiver, chargé de bonbons, de gâteaux ou de verges, pour récompenser leurs bonnes actions ou pour punir leur mauvaise conduite.

Environ huit jours auparavant, l'arrivée de cet ami des enfants est annoncée dans les familles par la chanson bien connue :

Kinderkens hangt uw korfkens uit,
Ik heb wat nieuws vernomen!
Als dat de Greef Uwe neef,
Is in het land gekomen.
En als gy niet vroeg slapen en gaet,
Dan zal ik m' er niet mêe moeijen;
Dan zal de Greef, Uwe neef
Brengen een dikke roeije.

Tous les enfants promettent d'être bien sages et de se coucher toujours de bonne heure. L'un des huit jours avant la mi-carême, on leur donne un avant-goût ou «een proefbeetje». Une main mystérieuse et recouverte d'un gant noir leur jette par une porte entr'ouverte des bonbons à ramasser ou «te grielen», mot qui est spécial à cette circonstance et qui répond à celui de «grabbelen», employé dans les cas ordinaires.

La veille de la mi-carême chaque enfant place dans l'âtre ou dans le coin de la cheminée une corbeille remplie de foin, et pour gagner les bonnes grâces de messire le greef, on ne manque jamais de mettre dans le foin un morceau de pain ou une carotte pour le cheval blanc du comte. Car à l'instar de saint Nicolas, le sinte Greef et son domestique, revenant d'un voyage aérien dont ils ont rapporté des bonbons, parcourent les sommets des habitations et laissent tomber par les cheminées quelques friandises pour chaque enfant qui depuis la Saint Nicolas a été toujours sage, et une verge pour fustiger à l'avenir celui d'entre eux qui s'est mal comporté.

Dan zal de Greef,
Uwe neef,
Brengen een dikke roeije.


A Malines:

Wat heeft den Greef ons medegebragt.
Korenten, vygen, rozynen,
Strikken en tesschen
Scheeren en messen
Men koopt er met g'heel dozynen.
Kinderkens als ge vroeg op staet
Ge meugt niet gryzen of janken
Stelt u ten toon,


A Turnhout on chante :

Kinderkens hangt uw korfkens uit,
Ik heb wat nieuws vernomen,
Dat de Greef,
Uwe neef,
Die zal morgen komen.
Wat heeft de Greef al mêe gebragt?
Vygen en rozynen,
Koek en tes,
Scheer en mes,
Haentjens op een steksken.
Maer ais gy dan niet wys en zyt,
Dan zal ik m' er niet mo moeijen.
Wascht u wel schoon,
Monpéer et maméer bedanken.


Les parents ont soin de vider les corbeilles et de les remplir ensuite de toutes sortes de friandises, ou d'y placer une verge faite de quelques rameaux de bouleau, qui, après la fête, reste ordinairement suspendue dans un coin de la cheminée.

En quelques endroits, entre autres à Diest, à Kontich et dans les environs de cette commune, les enfants vont la veille de la mi-carême chez leurs parrains et marraines, pour y placer leurs corbeilles dans l'âtre; le lendemain il y retournent de grand matin pour aller chercher les corbeilles, que pendant la nuit «mynheer de Greef» a remplies de dragées.

A Anvers on voyait naguère, chaque année à la mi-carême, un personnage monté sur un cheval et affublé d'un costume du siècle précédent, parcourir les rues de la ville, accompagné d'un homme déguisé en femme et suivi de deux ou trois domestiques en livrée, également à cheval et ayant de chaque côté de leurs montures un grand panier rempli de fruits secs, de bonbons et d'autres friandises, qu'ils distribuaient dans les rues, sur un signal de leur maître, aux enfants du peuple. C'était le Greef et son épouse «de Grevin» avec leur suite. Mais l'Anversois nommé Rooge, qui représentait de coutume le Greef, étant mort du choléra, il y a environ trente ans, le cortège a cessé de se montrer.

Les enfants s'en consolent en disant que depuis la révolution belge, le Greef n'ose plus paraître de jour, et que, par conséquent, on ne voit plus que son portrait et celui de sa femme, que les confiseurs ont encore l'habitude d'exposer devant la porte de leur magasin. Du reste, bien qu'il ne se voie plus en public, le Greef continue de jouer un grand rôle à Anvers. Sa fête n'y est pas seulement une fête pour les enfants, mais aussi un jour de grande importance pour les jeunes gens. C'est la Saint Valentin d'Anvers. Les jeunes filles reçoivent le portrait équestre du Greef, soit en massepain, soit en «spiculatie» c'est-à-dire en pain d'épice, soit en pain bis on en pain plâtre. Par les Greefs qui lui sont envoyés sous un voile très transparent d'anonyme, ou offerts en personne, une jeune Anversoise peut compter le nombre de ses adorateurs, comme par la grandeur et la qualité de chaque offrande, elle peut connaître le degré de l'affection de celui qui l'a mise à ses pieds. Malheur à elle, lorsque le Greef qu'elle reçoit, au lieu de massepain ou de spiculatie, n'est qu'en pain bis ou en plâtre. C'est la vengeance des amants malheureux ou répudiés, et pendant toute l'année c'est un objet de railleries cruelles pour la pauvre fille.

En revanche le portrait de la Grevin ou comtesse de Mi-Carême, qu'un homme reçoit à cette époque de la part d'une jeune fille, lui indique d'une manière très intelligible qu'il est refusé ou agréé.

M. J. Ducaju, d'Anvers, a tiré de cette coutume particulière à sa patrie, le sujet d'une comédie charmante, intitulée «Sinte Greef of de Graef van Halfvasten». Elle fut représentée pour la première fois le 13 janvier 1858, au théâtre national (Nationael Tooneel) à Anvers.

Quelle est l'origine du «Greef van Halfvasten» ? On a émis à ce sujet beaucoup d'opinions. Le nom de «Greef» au lieu de «Graef» est propre au dialecte d'Anvers, où la voyelle «a» a presque toujours le son de «e » De là une première présomption : la fête du Greef, étant d'origine purement anversoise, se rattache au «Greef» ou «Markgraef» de cette ville, magistrat de haute considération, qui représentait le souverain en sa qualité de seigneur du marquisat d'Anvers. On raconte qu'à l'arrivée du premier navire chargé de fruits du midi, un Greef dont on ignore le nom, voulant réfuter une fois pour toutes le préjugé populaire qui faisait considérer ces fruits comme nuisibles à la santé, acheta la cargaison entière et distribua oranges, citrons, figues, amandes, etc., à quiconque en voulait.

Une histoire pareille se raconte des deux premiers navires chargés de sucre des Canaries, qui arrivèrent, d'après la petite chronique d'Anvers (Antwerpsch Chronykje), en 1508. Un Anversois, nommé «de Graef» voyant que personne n'en voulait, acheta ce sucre à vil prix et s'en servit pour faire toutes sortes de friandises, qu'il fit offrir, à l'occasion de la mi-carême, à tous les gourmands de la ville.

Quelques auteurs prétendent que la fête du Greef se célèbre en mémoire de la joyeuse entrée du comte Louis de Male et de son épouse Marguerite, qui eut lieu le 12 mars 1338, et lors de laquelle le comte donna des présents aux enfants qui allèrent à sa rencontre.

D'autres avancent que cette fête fut instituée en souvenir de l'entrée magnifique du duc Philippe le Hardi et de son épouse Marguerite, fille de Louise de Male, qui eut lieu le 23 mars 1383.

M. Coremans présume que le Greef n'est autre que l'ex-dieu Thor. La circonstance que le Greef arrive le «zomerdag», jour qui, sous différents noms, est connu dans tous les pays tant germaniques que slaves pour les cérémonies auxquelles il donne lieu, nous porte à croire que la coutume flamande n'est qu'une variante des nombreux usages, se rattachant aux anciennes fêtes païennes qui manquaient la fin de l'hiver et le retour du printemps.

Une coutume tout analogue à celle d'Anvers se pratique aujourd'hui à Hazebrock (Assebrouk). Le dimanche de la Mi-Carême, un homme pompeusement vêtu représente «de graef van 't Noten land», le comte du pays des noix, et parcourt à cheval les rues de la ville, ayant au côté un grand sac rempli de noix, qu'il jette de temps en temps à pleines mains à la foule qui l'entoure de toutes parts. Tout ce qui a force de se remuer, suit le comte du pays des noix pour attraper un de ses fruits, auxquels la croyance populaire attribue une grande puissance contre les maux de dents.

A Ypres, le, «Greef» ou «Graef van Halfvasten» n'était pas aussi bienveillant que celui d'Anvers. Monté sur un âne, tout habillé de blanc, le visage enfariné, il parcourait les rues, tenant en main une verge; tous les enfants de la ville avaient soin de se réfugier chez eux, dès qu'ils l'apercevaient de loin, ou de courir à toutes jambes à la maison, de peur d'être entrevus par le Greef.

En examinant les différentes formes sous lesquelles le Greef apparaît dans le pays flamand, nous remarquons une grande analogie avec les cérémonies auxquelles le dimanche de Laetare donne lieu dans les autres pays germaniques. Comme on y représente tantôt l'expulsion de l'hiver, tantôt l'arrivée du printemps, nous voyons aussi en Belgique dans la figure blanche du Greef d'Ypres, l'hiver qui s'en va et que l'on craint, et dans l'apparition joyeuse du Greef d'Anvers, le symbole de l'été qui vient et que l'on désire à cause des dons qu'il apporte. Nous retrouvons jusqu'au nom du Greef dans le «Maigraf» et «Maigravin» comte et comtesse de mai, en Holstein, et le «Blumengraf» comte des fleurs, en d'autres contrées de l'Allemagne.

Une coutume très curieuse s'est maintenue à Kontich et dans les environs de cette localité. Les jeunes paysans qui ont des relations avec une jeune fille, ont le droit de lui rendre une visite le soir du mardi-gras, ce qu'ils appellent «zyn lief in 't zout leggen», mettre son amante dans le sel. La mi-carême leur donne la liberté de répéter cette visite, ce qu'ils nomment «zyn lief eens omleggen in 't zout», tourner son amante dans le sel. Aux Pâques ils vont pour la troisième fois voir la jeune fille et causer avec elle, en vue de la retirer du sel ou «zyn lief uit het zout halen», c'est-à-dire concerter le mariage.

A Bruxelles, le bourreau avait jadis le droit d'accorder la permission de placer des échoppes ou boutiques de fruits secs ou fruits de carême, et d'aller ce jour prendre à chacune de ces boutiques une poignée de fruits que son domestique recueillait dans un panier.

Les vieillards de l'hospice d'Aa à Ixelles recevaient chacun 4 1/2 sous et un pain, de plus 6 oorden du couvent de Caudenberg, et un pain et 6 oorden de l'abbaye de la Cambre. Cet hospice doit son origine à Jean d'Aa, bourgeois de Bruxelles, qui habitait à Ixelles et qui par son testament, dont il obtint approbation le 12 avril 1472, réserva la majeure partie de ses biens à l'établissement d'un nouvel hospice dans sa demeure.

A Gand a lieu la foire de la mi-carême, qui se tenait jadis à la grande boucherie. Elle ne pouvait durer que trois jours. Charles V, dans un privilége qu'il donna aux Gantois, le 1er avril 1515, appela ces jours half-vasten-dagen et kermisdagen.

Aujourd'hui elle dure dix-huit jours et se tient sur la place St.-Pierre.

Le dimanche avant la mi-carême, alors que commence le marché aux chevaux, est l'époque du premier Longchamps gantois. Tout le monde dirige sa promenade hors de la «Dampoort» pour admirer les chevaux magnifiques par lesquels se distingue le marché dit de la mi-carême ou «van Half-vasten».

À Turnhout, la mi-carême donne lieu à la coutume dite «Overhalen» ou «Verhuysen». Lorsqu'un fermier prend à ferme une métairie, ses nouveaux voisins se réunissent avec tous leurs chariots et tous leurs domestiques pour aller quérir ce fermier et pour transporter à la fois sa famille, ses meubles et ses bestiaux à sa nouvelle habitation. Les chariots et les chevaux sont décorés de rubans, de fleurs et de petits drapeaux; les vaches et les autres bestiaux, également ornés de fleurs et de rubans, sont conduits l'un après l'autre par les servantes des voisins parées de leur mieux, de sorte que le cortège forme une longue file qui couvre quelquefois le chemin sur une longueur d'une demi-lieue. La famille du fermier monte dans une chaise, qui est presqu'entièrement couverte de guirlandes, de bandelettes, de clinquants et surtout de cartes à jouer. Arrivé au lieu de sa destination, le fermier donne un petit régal à ses voisins.


Extrait des "Traditions et légendes de la Belgique", du Baron de Reinsberg-Düringsfeld, tome I (1870)


*


Moule à biscuits
De Greef en de Grevin


BIBLIOGRAPHIE

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VAN GENNEP, Arnold. Le Folklore de la Flandre et du Hainaut français, département du Nord, tome I : du berceau à la tombe, les cérémonies périodiques, le culte des saints . Contributions au folklore des provinces de France ; II. Arnold Van Gennep, Maisonneuve, 1935.
VAN GENNEP, Arnold. Le Folklore de la Flandre et du Hainaut français, département du Nord, tome II : sources, arbres et saints patrons, magie et médecine populaire, littérature et jeux populaires. Contributions au folklore des provinces de France ; III.Arnold Van Gennep, Maisonneuve, 1936.
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LA BELGIQUE D'ANTAN Liège

 

Li Cotiresse - La marchande de légumes


La Belgique d'antan

L I È G E


Autrefois...


Liège - Place du Théâtre (actuelle Place de la République Française) vers 1895

Liège - Place Saint-Lambert (vers 1895)

Liège - Pont des Arches (vers 1895)

Liège - Vue sur les quais de la Meuse (vers 1895)

Liège - Vue générale de la ville (vers 1895)


Liège - Une famille liégeoise en 1898

Liège - Angle Rue de la Régence et Quai sur Meuse (1890)

Liège - Le Trinkhall au Parc d'Avroy (1887)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (1900)

Liège - La Banque Nationale (vers 1910)

Liège - Maison Havart au Quai de la Goffe (1901)

Liège - Rue Féronstrée (1962)

Liège - Ancien manoir de la Bastrée (ou Bastrie) rue des Guillemins

Liège - Ancien manoir de la Bastrée (ou Bastrie) rue des Guillemins

Liège - Place du Maréchal Foch (vers 1920)

Liège - Place Saint-Lambert en juin 1940

Liège - Marchande d'oeufs durs à la Foire d'Octobre (Photo Joseph Closson 1926)

Liège - Collégiale Saint-Denis au 19e siècle, par Jan Weissenbruch

Liège - Rue du Pont d'Avroy (Photo Gustave Ruhl 1904)

Liège - Grand-Poste (vers 1900)

Liège - Ménagerie Amar à la Foire d'Octobre (Photo Louis Max 1926)

Liège - La baraque des géants à la Foire d'Octobre (Photo Louis Max 1927)

Liège - L'Amusement Suisse à la Foire d'Octobre (1922)

Liège - Inauguration d'un Resto du Coeur en 1986
José Happart, Coluche et Edouard Close

Liège - La façade Art Déco du cinéma Churchill

Liège - Vue intérieure de la cathédrale Saint-Lambert, par Peter Neefs (17e siècle)

Liège - Palais des Princes-Evêques et cathédrale Saint-Lambert en 1734

Liège - Carte publicitaire pour le Café de la Renaissance (1860)

Liège - Tour de magie athlétique sur la Batte (1913)

Liège - Maison Curtius, quai de Maestricht (1905)

Liège - Les Botteresses (1909)

Liège - Les Liégeois accueillent les Américains en septembre 1944


Liège - Un soldat américain en embuscade, septembre 1944

Liège - Les Liégeois accueillent les Américains en septembre 1944

Liège - La Place Saint-Lambert vers 1965

Liège - Le Palais de Justice (1880)

Liège - Montagne de Bueren (vers 1905)

Liège - Maison Havart au Quai de la Goffe (1901)

Liège - Basilique Saint-Martin au milieu du 19e siècle 
Aquarelle de Joseph Fussell

Liège - Boulevard de la Sauvenière au milieu du 19e siècle
Aquarelle de Joseph Fussell

Liège - Cathédrale Saint-Paul au milieu du 19e siècle
Aquarelle de Joseph Fussell

Liège - Rue de Fragnée (1905)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (vers 1930)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (vers 1955)

Liège - Rue Pont d'Avroy, le Forum (vers 1970)

Liège - Claude François au Forum (1969)

Liège - Station d'autobus au boulevard de la Sauvenière (vers 1950)

Liège - Leodium (gravure de 1574)

Liège - Rue Pont d'Avroy, le Palace (vers 1920)

Liège - Le Passage Lemonnier (vers 1905)

Liège - Place Cathédrale et Vinâve d'Île (vers 1960)

Liège - Place Maréchal Foch (vers 1965)

Liège - Place Saint-Lambert (vers 1970)

Liège - Place Saint-Lambert (vers 1960)

Liège - Place Saint-Lambert (vers 1895)

Liège - Crue de la Meuse en janvier 1926

Liège - Trolleybus à la gare de Liège-Longdoz, rue Grétry.

Liège - Panorama au dessus du Rathskeller, boulevard de la Sauvenière (1910)

Liège - Square Notger, la gare, la rue Pierreuse (1905)

Liège - Les Thermes (1901)

Liège - Place République Française et Théâtre Royal (vers 1920)

Liège - Rue Louvrex et le Jardin Botanique (vers 1905)

Liège - La marchande de légumes - Li Cotiresse (vers 1900)

Liège - Marché aux légumes à la Place Cockerill (1925)

Liège - Coin rue Joffre et place de la République Française : "Le Charlemagne"

Liège - Garage Minerva, boulevard de la Sauvenière (vers 1930)

Liège - Exposition anti-maçonnique au temple du boulevard d'Avroy (1941)

Liège - Coin rue Volière et rue Pierreuse (vers 1960)

Liège - Rue Pierreuse en 1844, gravure de Théodore Fourmois

Liège - Une épicerie à la rue Pierreuse (vers 1950)

Liège - Rue Pierreuse en 1891, par Louis Bauès

Liège - Rencontres à la rue Pierreuse (vers 1945)

Liège - Place de l'Opéra (vers 1960)

Liège - Place du Marché (vers 1900)

Liège - Café Richelieu, place de la République Française (vers 1925)

Liège - On prend le tram, place de la République Française (1935)

Liège - Place Saint-Lambert (1912)

Liège - Café de l'Etoile d'Or, coin places Saint-Lambert et Notger (vers 1930)

Liège - Les pigeons de la place Saint-Lambert (vers 1930)

Liège - Les opérateurs à la place Saint-Lambert (vers 1925)

Liège - Pont de Fétinne sur l'Ourthe et église Saint-Vincent (vers 1955)

Liège - Rue de Bruxelles (vers 1960)

Liège - Rue de l'Université (vers 1905)

Liège - Café du Disque à la rue du Plan Incliné (vers 1910)

Liège - Rue Volière (vers 1950)

Liège - Rue Volière (vers 1965)

Liège - Gare de Liège-Jonfosse (vers 1920)

Liège - La foire au Boulevard de la Sauvenière (1902)

Liège - Rue Cathédrale (1907)

Liège - Gare du Haut-Pré (1910)

Liège - Montagne de Bueren (Vers 1925)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (vers 1925)

Liège - Scène de rue (1906)

Liège - La Place Verte, puis Place Maréchal Foch, puis Ilot Saint-Michel (vers 1910)

Liège - Botteresses liégeoises

Liège - La Batte (1903)

Liège - Place Sainte-Claire (1880)

Liège - Boulevard Frère-Orban (vers 1910)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (vers 1910)

Liège - La Meuse et le Canal (vers 1900)

Liège - La rue Pierreuse (1905)

Liège - Le Pont-Neuf (1902)

Liège - Place du Marché et le Perron (1900)

Liège - Tour des Vieux Joncs de l'Ordre Teutonique

Liège - César Franck, compositeur liégois

Liège - Georges Simenon, debout au centre, ses parents et son frère (1909) 

Liège - Boulevard de la Sauvenière (vers 1925)

Liège - L'Abattoir

Liège - Eglise Saint-Pholien et Maison Parquin (1903)

Liège - Caserne des Lanciers (1912)

Liège - Boulevard d'Avroy (vers 1910)

Liège - L'embarcadère au Petit Paradis (vers 1920)

Liège - Le Canal de Maestricht (vers 1920)

Liège - Montagne de Bueren (vers 1895)

Liège - Carrefour Avroy-Sauvenière (vers 1905)

Liège - Le ballon au gaz "Jules Favre" photographié par Joseph Kirsch (1870)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (1870)

Liège - Boulevard Piercot (1895)

Liège - Place de la République Française (1919)

Liège - Crue de la Meuse 1925-1926 

Liège - Crue de la Meuse 1925-1926

Liège - Les balayeuses (1903)

Liège - Le Conservatoire de Musique au boulevard Piercot (vers 1905)

Liège - Tramway hippomobile sur le boulevard de la Sauvenière (vers 1895)

Liège - Entrée de la Citadelle (1913)

Liège - Le charmeur de pigeons à la place Saint-Lambert (vers 1910)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (1919)

Liège - Rue Crève Coeur et prison Saint-Léonard (vers 1905)

Liège - Eglise Saint-Jacques (1909)

Liège - Place Verte (puis place Maréchal Foch, puis Ilot Saint-Michel) vers 1910

Liège - La dérivation de la Meuse

Liège - Place du Théâtre (Place de la République Française en 1918) vers 1910

Liège - Eglise Saint-Jean à la place Xavier-Neujean (1901)

Liège - Rue Roture (1922)

Liège - Bassin du Commerce (1870)

Liège - Degrés de Saint-Pierre et place Notger (1903)

Liège - Ecluse de l'Evêché (vers 1900)

Liège - Crue de 1880 au quai de Fragnée

Liège - Eglise Saint-Pholien (1874)

Liège - Escalier de la Montagne (vers 1900)

Liège - Panorama de la ville (1880)

Liège - Manifestation estudiantine contre les flamingants (1928)

Liège - Eugène Ysaÿe, violoniste et compositeur liégeois

Liège - Eugène Ysaÿe, à droite

Liège - César Franck, au centre, et le Quatuor Ysaÿe (1890)

Liège - Eugène Ysaÿe et la reine Elisabeth

Liège - Fontaine de la Vierge, rue Vinâve-d'Ile (vers 1900)

Liège - Pont de la Boverie, devenu Pont Kennedy (vers 1905) 

Liège - Grand Hôtel et Café du Phare, au coin des places Verte et Saint-Lambert (vers 1905)

Liège - Place St-Lambert et Palais de Justice (vers 1910)

Liège - Gare du Palais (1900)

Liège - Van Belle et Biewer (1910)

Liège - Rue du Pont d'Avroy depuis le boulevard de la Sauvenière (vers 1910)

Liège - Casino Grétry au boulevard de la Sauvenière (vers 1900)

Liège - Botteresses liégeoises

Liège - La chapelle de l'Hôpital de Bavière (1885)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (vers 1900)

Liège - Un antiquaire à la place de Fragnée, actuelle place du Général Leman (1900)

Liège - Les serres du Jardin Botanique (1880)

Liège - Rue Saint-Gilles (vers 1920)

Liège - Hôtel des Postes, rue de la Régence (1904)

Liège - Rue de la Volière (vers 1920)

Gentleman liégeois photographié par Walter Damry en 1865

Liège - Bassin de Coronmeuse (1902)

Liège - Caserne Saint-Laurent (1913)

Liège - Ecluse de Coronmeuse (1902)

Liège - Gare de Jonfosse, rue Pouplin (vers 1905)

Liège - Gare de Longdoz (vers 1900)

Liège - Les Joyeux des Vennes, groupe folklorique (1929)

Jeune liégeoise (Photo Walter Damry 1870)

Liège - Le Moulin à l'Ancien Quartier des Vennes (1901)

Liège - Grand Bazar de la place Saint-Lambert (vers 1900)

Liège - Pont-Levis à Coronmeuse (1902)

Liège - Eglise Saint-Pholien (1907)

Liège - Hôtel de Ville à la place du Marché (vers 1910)

Liège - Eglise Sainte-Croix à la rue Sainte-Croix (1904)

Liège - Gare du Palais (1907)

Liège - La Poste et rue de la Régence (1911)

Liège - Inauguration du Patronage Communal de Ste-Walburge (1910)

Liège - Laiterie de Cointe, au Petit Bourgogne (vers 1925)

Liège - Gare des Guillemins (vers 1905)

Liège - Bassin du Commerce (vers 1895)

Liège - Gare du Palais (1906)

Liège - Les Quais (vers 1880)

Liège - Cathédrale Saint-Paul (1913)

Liège - Fontaine de la Vierge et rue Vinâve-d'Ile (1911)

Liège - Linière Saint-Léonard (vers 1900)

Liège - Locomotive de la Société de Saint-Léonard

Liège - Locomotive de la Société de Saint-Léonard

Liège - Locomotive de la Société de Saint-Léonard

Liège - Le Palais Provincial et le square Notger (vers 1880)

Liège - Marchande de beurre (1925)

Liège - La fontaine de la Vierge, rue Vinâve-d'Ile (vers 1905)

Liège - La prison Saint-Léonard (1902)

Liège - La Passerelle et la Poste (vers 1910)

Liège - Le Perron (vers 1900)

Liège - Rue Pierreuse (1905)

Liège - Quai des Pêcheurs (vers 1905)

Liège - Pont d'Amercoeur (vers 1905)

Liège - Scène de marché au quai de la Goffe (vers 1900)

Liège - Course de motos Liège-Paris le 7 juillet 1912

Liège- Course de motos Liège-Paris le 7 juillet 1912

Liège - Panorama de la ville (vers 1885)

Liège - Société historique à la rue Pierreuse (1901)

Liège - Brasserie Grétry à la rue Pont d'Avroy (1905)

Liège - Rues Puits en Sock et Surlet (1908)

Liège - Fontaine Saint-Jean à la rue Hors-Château (1903)

Liège - Botteresses liégeoises (vers 1910)

Liège - Petit Paradis et avenue Blonden (vers 1900)

Liège - Place Cockerill (1890)

Liège - Place de l'Acclimatation, devenue place d'Italie en 1918 (1906)

Liège - Tunnel de Ceinture et Pierreuse (1909)

Liège - Le Trinkhall au parc d'Avroy (vers 1900)

Liège - Boulevard de la Sauvenière (vers 1920)

Liège - Marché aux choux (vers 1890)

Liège - Palais de Justice (vers 1905)

Liège - Rue Pierreuse (vers 1925)

Liège - Le Grand Bazar de la Place Saint-Lambert (vers1905)

Liège - Place Saint-Gilles (vers 1925)

Liège - Tramway hippomobile au boulevard de la Sauvenière (1890)

Liège - Avenue Blonden et rue Raikem (1911)

Liège- Eglise Sainte-Foy, rue St-Léonard (1901)

Liège - L'Observatoire de Cointe (1907)

Liège - Statue du Christ en Pierreuse (1908)

Liège - Place Saint-Lambert (1912)

Liège - Place du Marché (1901)

Liège - Place Verte, aujourd'hui Ilot Saint-Michel (1899)

Liège - Creusement du tunnel sous Pierreuse (1873)

Liège - Pont et rue Léopold (vers 1910)

Liège - Place Verte (1901)

Liège - Pont Maghin ou Saint-Léonard (vers 1905)

Liège - Place Verte (1905)

Liège - Quai de la Batte (vers 1900)

Liège - Rue Grétry (1904)

Liège - Quai Mativa (1896)

Liège - Pont des Arches (1907)

Liège - Place du Marché (1890)

Liège - Le Tir Communal (1903)

Liège -Hôpital de Bavière (1909)

Liège - Le Petit Trianon au boulevard de la Sauvenière (1905)

Liège - Eglise Saint-Barthélémy à la place du même nom (1903)

Liège - Les pigeons de la place Saint-Lambert (1922)

Liège - Pont de Fragnée ou Pont des Anges (1906)

Liège - Les Rémouleurs (vers 1905)

Liège - Quais de la Batte et de la Goffe (1925)

Liège - Parc d'Avroy et le Trinkhall (vers 1900)

Liège - Places Verte et Saint-Lambert (1898)

Liège - Quai Mativa (1904)

Liège - Rue de Bruxelles (1906)

Liège - "Avenue" d'Avroy (vers 1890)

Liège - Quai Mativa (1902)

Liège - Marché au quai de la Batte (1903)

Liège - Vieilles maisons, rue du Ponçay (1907)

Liège - Place Verte (1901)

Liège - Boulevard d'Avroy et Chapelle du Saint-Sacrement (1920)

Liège - Crue de la Meuse 1925-1926, rue Sainte-Véronique

Liège - La Synagogue, rue Léon Frédéricq (1899)

Liège - Rue des Guillemins (1905)

Liège - Marché à la rue de la Régence (1890)

Liège - Tramway électrique à la rue Louvrex (1900)

Liège - Place du Marché (1912)

Liège - Pont du Commerce (vers 1910)

Liège - Quai-sur-Meuse (vers 1900)

Liège - Rue André Dumont - Pont Neuf (1906)

Liège - Tramway électrique à Cointe (1898)

Liège - Rue Chaussée des Prés (1904)

Liège - Place de l'Université, devenue place du 20 Août (1911)

Liège - Crue de la Meuse 1925-1926 au boulevard de la Sauvenière

Liège - Avenue Rogier et Terrasse (vers 1910)

Liège - Nouveau Quartier (vers 1880)

Liège - Rue des Pitteurs (1919)

Liège - Halle aux viandes, rue de la Goffe (1890)

Liège - Les Balayeuses photographiées par Jacques Hersleven (1930)

Liège - Les pigeons de la place Saint-Lambert (Photo Jacques Hersleven 1928)

Liège - A l'Institut Saint-Joseph... (1910)

Liège - Pensionnat des Soeurs de Saint-Joseph (vers 1910)

Liège - Rue et Gare des Guillemins (vers 1905)

Liège - Les sapeurs-pompiers (1902)

Liège - Crue de la Meuse 1925-1926

Liège - Statue de Charlemagne en 1880

Liège - Eglise Saint-Barthélémy (1880)

Liège - Eglise Saint-Paul (1880)

Liège - Fontaine de la Vierge et rue Vinâve-d'Ile (1880)

Liège - Place du Théâtre vers 1890, devenue place de la République Française en 1918

Liège - Joseph Delboeuf, philosophe liégeois (Photo Walter Damry 1865)

Liège - Marchand de filets (Photo stéréoscopique 1890)

Liège - Palais Provincial et square Notger (1880)

Liège - Panorama de la ville (1880)

Liège - Le Perron (1880)

Liège - Place de la Comédie vers 1865, devenue place de la République Française en 1918

Liège - Pont du Commerce (vers 1880)

Liège - Batte et Goffe (vers 1880)

Une charmante Liégeoise (Photo Walter Damry 1870)


LIÈGE A LA BELLE EPOQUE - LES PHOTOS DE JULES MARTINY

Liège - Le cramignon (Photo Jules Martiny 1892)

Liège - Badauds à l'angle Pont d'Avroy-Sauvenière (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1889)

Liège - Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Une aubette de tram au boulevard de la Sauvenière (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Fontaine Montefiore au Quai sur Meuse (Photo Jules Martiny 1892)

Liège - Halles centrales à la place Cockerill (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Halles centrales à la place Cockerill (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Marchand de crème glacée (Photo Jules Martiny 1893)

Liège - Marché du Conservatoire (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Place Cockerill (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Fontaine Montefiore à la place Cockerill (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Fontaine Montefiore à la place Cockerill (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Un aérostat à la place Saint-Lambert (Photo Jules Martiny 1885)

Liège - La Cavalcade à la place Saint-Lambert (Photo Jules Martiny 1883)

Liège - Les "lavabos inodores" à la place Saint-Lambert (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Inondation à la place Saint-Séverin (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Fontaine Montefiore au quai de la Goffe (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Fontaine Montefiore à la Goffe (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Découpeur de silhouette à la Goffe (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Quai de la Goffe (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Péniche au quai des Pêcheurs, actuel quai Van Beneden (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Un dimanche à Kinkempois (Photo Jules Martiny 1893)

Liège - Angle des rues Léopold et de la Madeleine (Photo Jules Martiny 1892)

Liège - Le Corps de Balai en action (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Le Corps de Balai en action (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Marchand de crème glacée au boulevard d'Avroy (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Comité des fêtes du Vestiaire Libéral (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Une course cycliste au Quartier Saint-Léonard (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Une course cycliste au Quartier Saint-Léonard (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Vue arrière de l'Hôtel de Ville (Photo Jules Martiny 1893)

Liège - Fête du Vestiaire Libéral (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Foire d'Octobre au boulevard d'Avroy (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Carrousel à vapeur à la Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - La Grande Roue à la Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Badauds à la Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Un "Hercule" à la Foire d'Octobre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Anciens combattants de 1830 (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Un Liégeois se désaltère en août 1893 (Photo Jules Martiny)

Liège - Une jeune lectrice (Photo Jules Martiny 1893)

Liège - Un "découpeur de silhouette" à la Batte (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Vue arrière de l'Hôtel de Ville (Photo Jules Martiny 1893)

Liège - Un officier de la Garde Civique (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Pêcheurs à l'Ile aux Cochons (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Place Cockerill (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Place du Marché (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Place du Théâtre (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Cérémonies pour le 60e anniversaire de la Belgique (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Dégâts d'orage à la place Saint-Séverin (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Dégâts d'orage à la place Saint-Séverin (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Pompiers à la caserne des Ursulines (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Pêcheurs au quai de la Boverie (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Angle Cheravoie et Quai sur Meuse (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Le rémouleur, ou aiguiseur de couteaux (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - La rue Léopold en hiver (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - La rue Léopold à hauteur du n° 10, ex n° 47 (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Jour de lessive (Photo Jules Martiny 1890)

Liège - Spectateurs d'un carrousel cycliste (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Le Trink-Hall du parc d'Avroy (Photo Jules Martiny 1891)

Liège - Vinâve d'Ile et fontaine de la Vierge (Photo Jules Martiny 1890)


LES EXPOSITIONS INTERNATIONALES A LIÈGE

Exposition Universelle de 1905 à Liège

Exposition Universelle de 1905 à Liège

Exposition Universelle de 1905 à Liège

Exposition Internationale de 1930 à Liège

Exposition Internationale de 1930 à Liège

Exposition Internationale de 1930 à Liège

Exposition Internationale de l'Eau en 1939 à Liège

Exposition Internationale de l'Eau en 1939 à Liège

Exposition Internationale de l'Eau en 1939 à Liège


LA GRANDE GUERRE (1914-1918)

Un peloton de la Garde Civique liégeoise à l'entraînement

La Garde Civique liégeoise monte en ligne, en appui des troupes de l'Armée belge (1914)

Les miliciens de la Garde Civique font barrage aux troupes allemandes (1914)

Le général Leman, l'héroïque défenseur de Liège en 1914


LA FRANCE DÉCERNE LA LÉGION D'HONNEUR A LIÈGE

24 juillet 1919 - Arrivée à Liège du Président français Raymond Poincaré

Le Président de la République Française, Raymond Poincaré, salue Liège.
Quelques heures plus tard, il décernera la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur à Liège,
en remerciement de la France pour l'héroïque résistance de la ville face à l'invasion
allemande d'août 1914, résistance qui donna le temps à l'Armée française de s'organiser et
de bloquer l'avancée des troupes ennemies

Raymond Poincaré et la reine Elisabeth de Belgique

Raymond Poincaré, accompagné du roi Albert, salue la foule

La reine Elisabeth, Raymond Poincaré, le roi Albert, Mme Poincaré et Gustave Kleyer

La foule liégeoise 

Cortège et scène allégorique

Cortège et scène allégorique :  la France et Liège représentées par deux jeunes femmes

La foule liégeoise

Le Maréchal Foch, la reine Elisabeth, Raymond Poincaré, le roi Albert, Mme Poincaré,
le prince Léopold et le bourgmestre de Liège Gustave Kleyer

Raymond Poincaré remet la Légion d'Honneur au bourgmestre de Liège

Gustave Kleyer montre la décoration à la foule

L'Arc de Triomphe de la Victoire

Diplôme de la Légion d'Honneur conférée à la Ville de Liège par la République Française
en 1914. Cette Légion d'Honneur sera remise à la ville le 24 juillet 1919.
Liège sera la première ville non française à recevoir cette décoration.
Depuis, seules six villes non françaises ont bénéficié de cette haute distinction.